Dépression : un lien social incertain et c’est la goutte d’eau de trop
Le lien social que nous entretenons peut être comme une lame. Il suffit que l’on tombe sur les mauvaises personnes pour que notre vie devienne un calvaire.
Des chercheurs de Harvard ont entamé des tests afin de connaître les raisons de la dépression, et comment l’anticiper. En effet, le lien social peut être destructeur pour la personne. Ces tests ont été réalisés sur 100 000 personnes toutes touchées par la dépression. En faisant ça, les chercheurs de Harvard souhaitent comprendre les facteurs et le mécanisme de la dépression. Dans ces tests, les chercheurs ont recueilli plusieurs facteurs comme l’interaction avec les personnes, les médias, l’alimentation, si la personne pratique du sport et pour finir le sommeil.
Des effets inattendus de la dépression
Chose plus surprenante, certaines conclusions affirment que la sieste l’après-midi ainsi que des prises de compléments alimentaires favorisent la dépression. Pendant ces tests, ces chercheurs ont remarqué que la sédentarité et regarde l’écran serait propice à la dépression. Afin de combattre cette possible dépression, il est important de se confier auprès de médecins agréés, amis ou même à de la famille. La COVID-19 n’a pas arrangé les choses avec la distanciation sociale, ne pas voir d’amis ou même de la famille pendant trois mois a été destructeur pour certaines personnes. Autre cause étonnante, la transmission par l’ADN ou par un traumatisme en début de vie.
« La dépression fait des ravages énormes sur les individus, les familles et la société, mais nous savons encore très peu comment la prévenir », rétorque Smoller.
Les chercheurs de Harvard aimeraient que des efforts afin d’établir des stratégies auprès des médecins agrée se fassent le plus rapidement possible. Une dépression est considérée comme une maladie. Elle influe sur votre vie privée comme professionnelle et de ce fait, peut provoquer des incidents voire même le décès chez la personne fragile. Cette étude a été publiée dans le The American Journal of Psychiatry, vous pourrez retrouver l’étude complète directement ici.
« Nous avons montré qu’il est désormais possible de répondre à ces questions d’une grande importance pour la santé publique grâce à une approche à grande échelle basée sur des données qui n’étaient pas disponibles il y a encore quelques années. Nous espérons que ce travail motivera de nouveaux efforts pour développer des stratégies concrètes pour prévenir la dépression. »