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Actualité
Avoir un chien protège d’une mort prématurée
publié le 21 novembre 2017 à 11h36, modifié le 21 novembre 2017 à 11h46.
"Meilleur ami" de l'homme, le chien -notamment chez les personnes célibataires- protégerait contre le risque d’une mort prématurée, mais le chien n'est pas l'unique animal "magique" pour notre santé.
Avoir un chien protégerait d’une mort prématurée et diminuerait le risque de faire un infarctus selon une étude réalisée par des chercheurs suédois de l’Université d’Uppsala*.
Moins 30 % de risque de mortalité prématurée si vous possédez un chien
Une heure de marche avec mon chien après le petit-déjeuner et la toilette, c'est bon pour la santé et ça vous met en forme pour la journée.
— jacques garnier (@jacquesgar) May 7, 2011
Le possesseur de chien baisserait de 30 % son risque de mortalité prématurée par rapport aux personnes vivant seuls, tandis que le risque de souffrir d’un infarctus du myocarde serait lui réduit de 11 %.
Pour les chercheurs, ce résultat s’explique plus par les profils particuliers des propriétaires d’animaux mais également selon la race des chiens : Les retrievers, les beagles et les terriers plus « protecteurs » nous exposerait moins aux risques de mort prématurée.
Au final, pour améliorer sa santé, il est parfois suffisant de fréquenter des animaux, mais pas que des chiens, les chats et autres animaux de compagnie apporte un effet bénéfique à notre forme. En effet, un animal fidèle, il n’y a rien de mieux pour l’estime de soi, la confiance et nous apporter du bonheur.
*Les spécialistes ont étudié les données médicales de près de 3,4 millions de Suédois qui ont à la fois été enregistrés comme propriétaires de chiens et comme patients dans un hôpital.
Une vraie relation avec son animal
Même si un animal n’est pas un être humain, depuis 2 ans le Code civil le reconnaît comme « un être vivant doué de sensibilité ». En effet, votre chien ou chat est capable d’attitudes d’empathie et de consolation. Avec lui, une forme de communication non verbale est possible : Il nous comprend et nous le comprenons, il nous renvoie l’attention que nous lui portons », explique Virginie Megglé psychanalyste est auteure de Le Bonheur d’être responsable, Vivre sans culpabiliser, éd. Odile Jacob.