La natation en eau froide atténue les symptômes de la ménopause et du cycle menstruel
Selon une étude britannique, la natation dans l'eau froide pourrait atténuer considérablement les symptômes liés au cycle menstruel et à la ménopause, tels que les bouffées de chaleur et les changements d'humeur. Avez-vous déjà essayé cette méthode ?
Tl;dr
- La natation en eau froide peut réduire les symptômes de la ménopause et du cycle menstruel.
- L’étude a été menée par l’University College London sur 1.114 femmes.
- Plus de 60% des femmes nagent spécifiquement pour lutter contre les symptômes de la ménopause.
- Les bains de glace sont un stimulant pour la réparation musculaire chez les athlètes.
La natation en eau froide : une solution pour la ménopause et le cycle menstruel ?
Selon une étude menée par l’University College London, nager dans l’eau froide pourrait significativement réduire les symptômes désagréables liés à la ménopause et au cycle menstruel, tels que les sautes d’humeur et les bouffées de chaleur.
L’immersion dans l’eau froide, une véritable « guérison »
Le pouvoir de l’eau froide ne se limite pas à un simple apaisement. Pour certaines femmes en période de ménopause, cette expérience est comparable à une véritable « guérison ». En effet, l’immersion dans l’eau froide aurait des bienfaits tant sur le plan physique que mental.
Une étude à large échelle
L’étude a mobilisé 1.114 femmes âgées de 16 à 80 ans, avec une moyenne d’âge de 49 ans. Parmi ces participantes, 785 étaient en période de ménopause. Les résultats ont montré que pour plus de la moitié de ces femmes, la natation en eau froide réduisait l’anxiété. De plus, une grande minorité a déclaré que cette pratique les aidait à lutter contre les sautes d’humeur, les baisses de moral et les bouffées de chaleur.
Des bienfaits déjà constatés
Les bienfaits de la baignade en eaux froides ont déjà été constatés. C’est un « réducteur de stress » pour les personnes qui la pratiquent en plein air. De plus, les bains de glace sont un véritable stimulant pour la réparation musculaire chez les athlètes, selon la professeure Joyce Harper, de l’Institut Elizabeth Garrett Anderson pour la santé des femmes à l’UCL.
L’avis de la rédaction
Nous saluons ces résultats encourageants qui démontrent une fois de plus l’impact bénéfique de l’activité physique sur notre santé. Ces découvertes pourraient changer la vie de nombreuses femmes et soulager leurs symptômes de ménopause de manière naturelle. Cette étude ouvre la voie à de nouvelles approches pour améliorer la qualité de vie des femmes et démontre l’importance de l’activité physique dans la gestion de notre santé au quotidien.