Le chanteur rend hommage à un garçon de 10 ans sur son compte Instagram. L’enfant est décédé d’un neuroblastome.
Vianney, le chanteur, a rendu un bel hommage sur son compte Instagram, à un enfant de 10 ans, décédé d’un neuroblastome. Cet enfant se battait contre ce cancer depuis 7 ans, mais n’a malheureusement pas gagné cette bataille.
Des mots touchants
Sur son compte Instagram, on peut y lire ses mots, très touchants, à l’attention de ce petit garçon, partit à cause d’un neuroblastome contre lequel il se battait depuis déjà 7 ans.
En effet, il écrit : « Nolann, mon petit bonhomme. Ton sourire si franc m’avait tellement marqué. 7 ans de combat. Et te voilà au ciel. Je pense à ta famille, tes amis & tous les autres guerriers qui comptent sur nous ».
Comme légende à ce beau texte, Vianney partage une photo de lui et du garçon, lors de leur rencontre, en 2018. En effet, le chanteur, depuis cette époque, s’est lancé dans la lutte contre le cancer.
Ce n’est pas la première fois que le chanteur se mobilise pour cette grande cause. En effet, en 2018, une petite fille nommée Augustine meurt d’un gliome infiltrant de haut grade. Une association portera ensuite le nom de « Wonder Augustine ».
Vianney avait, là aussi, écrit un message très émouvant, à l’attention de cette petite fille, ainsi que de tous ceux qui se battent contre le cancer.
Neuroblastome, ce cancer encore inconnu
Cet hommage très touchant, est une piqûre de rappel. Selon l’Institut Marie Curie, ce type de cancer est le plus courant chez les enfants, mais il a aussi des réactions très imprévisibles, faisant de lui un cancer encore inconnu.
Bien que la cause de ce cancer soit encore méconnue, son évolution et sa variabilité clinique déroute encore les scientifiques. Le neuroblastome est capable de :
- régresser spontanément sans traitement ;
- progresser et entraîner rapidement la mort, malgré une disparition des signes sous chimiothérapie.
Il faut savoir que le neuroblastome se développe avant tout à l’abdomen, la colonne vertébrale ou encore aux glandes surrénales.
Chaque année, ce sont 130 à 150 nouveaux cas de neuroblastome en France. La moitié des enfants atteints (garçons ou filles, le cancer n’a pas de préférence) ont moins de deux ans.
À l’image du neuroblastome, le taux de survie varie lui aussi, pouvant aller de 40 %, jusqu’à plus de 95 %.