À quel âge devrait être établi le port du masque chez les enfants ?
Que dit l’Organisation mondiale de la santé sur le port du masque chez les enfants ? Alors que les voix commencent monter, les parents s’inquiètent de plus en plus vis-à-vis de la COVID-19.
La rentrée scolaire arrive à grands pas ! Cependant, la COVID-19 reprend peu à peu sa place en France faisant peur à beaucoup de parents. Doivent-ils retarder la rentrée ? Le ministre de l’Éducation s’y refuse. Est-ce que le masque doit être obligatoire dans toutes les écoles de France ? Ce sont des questions révélées chez des centaines de parents. Selon le Jean-François Delfraissy a été direct, il y aura des clusters d’enfants en France. Les enfants se contamineront même avec les meilleures protections possibles, des enseignants seront également impactés.
La rentrée est très entendue par les élèves, car l’école permet de favoriser le lien social entre enfants. Les enfants sont de petits porteurs de virus, en France très peu d’entre eux ont eu de gros symptômes. L’OMS a tout juste publié le 21 aout un communiqué qui détaille les informations vérifiées du virus chez l’enfant. Par la même occasion, l’Organisation mondiale de la santé apporte quelques conseils sur le port du masque chez les enfants.
Les enfants doivent-ils porter le masque ?
Dans ce communiqué, l’OMS précise que le port du masque chez les enfants de zéro à cinq ans ne doit pas porter de masques. Pourquoi ? L’autonomie sociale et psychique de l’enfant est encore en développement. Le port du masque est de ce fait presque impossible, l’enfant ne pourrait pas supporter le masque à longueur de temps. En revanche, les enfants de six à onze ans seraient quant à eux concernés par le port du masque sous certaines conditions. Ces différents facteurs jouent principalement sur l’intensité de la contagion du virus, l’environnement, le nombre d’enfants, etc. Chez les plus de douze ans, le masque est très conseillé et ça concerne également les adultes.
« le port du masque par les personnes en bonne santé dans les espaces collectifs a comme avantages potentiels de réduire le risque d’exposition potentielle éventuelle à une personne infectée pendant la phase “présymptomatique” et de ne pas stigmatiser les personnes qui portent un masque parce qu’elles sont infectées »